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176. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE V. Eloge de Moliere. » pp. 154-202

Sensibilité exquise du cœur & des organes qui enlevoit les ames, comme Racine charmoit les cœurs, & dans la conversion des Calvinistes offroit à la religion des conquêtes dignes d’elle. […] n’auroit-il pas voulu former le cœur de Fenelon sur le sien ? […] Ce par cœur est ridicule, il est d’un écolier & fait un écolier de Moliere. […] Mon voisin & moi nous rions du meilleur cœur du monde de nous voir sots & impertinens. […] Mais la peinture du cœur humain étoit l’art de Moliere.

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