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7. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE III. De la comédie et des comédiens chez les païens et chez les chrétiens. » pp. 101-112

Nous démontrerons bientôt que les conciles d’Elvire et d’Arles, que nous venons de citer, ne sont plus applicables aux comédiens français, et nous ferons connaître les décisions des papes à l’appui de nos assertions. Nous allons citer encore au nombre des comédiens les clercs de la Basoche, qui s’étaient rendus recommandables depuis longtemps par leurs poésies. […] Sans entrer dans de grands détails à ce sujet, je me contenterai de citer Favo, noble Romain, vivant en l’an 81. […] On pourrait encore citer un grand nombre de gentilshommes qui, jusqu’à nos jours, par goût encore plus que par nécessité, se vouèrent à la profession de comédien, qui d’ailleurs avait obtenu le privilège extraordinaire et bien remarquable de ne point déroger à la noblesse.

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