Je me contenterai de citer Sophocle : sa Pièce d’Ajax est assurément très-belle ; mais on y voit un Monologue que fait ce Héros avant de se tuer, qui n’a aucun rapport ni avec ce qui précède ni avec ce qui suit. […] On pousse quelquefois la liberté que l’on prend dans l’arrangement des Scènes, ou des parties du Drame, jusqu’à composer des Actes qui n’ont aucun rapport les uns aux autres ; la Pièce d’Ajax de Sophocle que j’ai déjà citée, & les Horaces de Corneille, m’en fourniront une preuve.