Louis, fils d’une Reine très-pieuse, qui l’éleva dans la piété, a passé sa vie dans les bonnes œuvres, est mort dans les sentimens les plus chrétiens, après avoir reçu tous les Sacremens ; Henri, fils d’une Reine furieuse qui fit mourir des milliers de Catholiques, néglige dans son éducation, après la vie la plus libertine, à péri de la mort la plus déplorable, par l’horrible attentat d’un de ses sujets, sans avoir un moment pour se reconnoître. 6°. […] Les Chrétiens en gémissent.