Le détail de tant de foiblesses & de malheurs, suite ordinaire du vice, qui ne peut qu’affliger un Chrétien, lui montre qu’il doit prendre de justes mesures pour s’en préserver par la fuite des occasions, dont le théatre est une des plus communes & des plus prochaines. […] Ce parallele bien analysé entre ces deux prétendus luxes est une idée fausse, & même peu Chrétienne, à laquelle sans doute ce Prélat n’a pas fait assez d’attention.