dit nettement que le théâtre est une des pompes du diable, auxquels les Chrétiens ont renoncé à leur Baptême : et que c’est par conséquent être apostat, que d’y assister. « Quomodo, ô Christiane, spectacula post baptismum sequeris, quæ opus esse diaboli confiteris ? […] Au reste, si on les souffre dans un état Chrétien ; ce n’est que comme un moindre mal, qu’on tolère, pour en éviter un plus grand.