A combien d’écueils une âme sensible et chrétienne n’est-elle pas continuellement exposée par l’imprudence de ceux qui devraient la garantir des dangersaf ! […] Si le théâtre a pu inspirer aux païens quelques vertus imparfaites, grossières, mondaines et superficielles, il n’a ni l’autorité, ni la dignité, ni l’efficace qu’il faut pour inspirer les vertus convenables à des chrétiens.