Ses vers sont, dit-on, le fruit de quelques heures douces, où son ame s’arrachant au tumulte des villes, cherchoit un asyle dans les solitudes, le spectacle de la nature écartoit de lui tous les dégoûts ; il étoit transporté à la vue de ses beautés ; c’est pour lui le plus délicieux des spectacles. […] On y voit ces vers ridicules où l’on n’a cherché que des rimes, & qui seuls peignent les sentimens du Prince Tarare-Pompon, qui, chez le Lord Hamilton, sont très-comiques.