, d’avoir cherché leur plaisir « en son saint jour » : d’avoir regardé « le Sabbat comme un jour de délices », ou comme un jour « d’ostentation et de gloire » humaine : il leur montre la délectation qu’il fallait chercher en ce jour : « Vous vous délecterez, dit-il, dans le Seigneur » Ibid. […] En vérité on pousse trop loin la licence : les commandements de Dieu, et en particulier celui qui regarde la sanctification des fêtes sont trop oubliés, et bientôt le jour du Seigneur sera moins à lui que tous les autres ; tant on cherche d’explication pour l’abandonner à l’inutilité et au plaisir.