« Les comédies, dit-il, en leur substance, ne sont nullement choses mauvaises, mais indifférentes… je dis donc, Philothée, qu’il est loisible d’ouïr d’honnêtes comédies, que ce n’est pas mal de le faire, mais oui bien de s’y affectionner. » (Introduction à la vie dévote, pag. 1re du chap. 23.)