En parlant de Christine de Suede, dont il attribue l’abdidation au défit de se faire Catholique (ce qui est bien douteux), il dit : Nous avons vu bien des princes changer de religion pour régner : mais je ne sai gueres de rois qui aient quitté un royaume pour la Foi. […] Le poéte crut devoir changer ce vers dans les autres représentations ; mit tantôt je laisse, tantôt j’assure.