« Que pour changer leurs mœurs, et régler leur raison, Les Chrétiens ont l’Eglise et non pas le Théâtre. » Mais pour ne pas laisser ces autorités sans montrer le fondement solide sur lequel elles sont établies, entrons dans les raisons et dans les réflexions, qui nous feront apercevoir que l’Ecriture ne saurait être représentée sur le Théâtre des Comédiens sans y être altérée et corrompue. […] Tout cela se change en un colloque avec l’amoureux Romanesque, où Judith n’est occupée qu’à calmer ses défiances, ses dépits, ses transports.