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258. (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45

Il demande ou qu’on cesse de condamner la Comédie, ou qu’on la laisse passer avec ces choses pour lesquelles on ne manque pas d’indulgence. […] Il peut pourtant avoir des raisons pour ne faire ni l’un ni l’autre : mais je sais bien qu’il ne les tire pas de sa conscience ; et il m’avouera que si elles venaient à cesser, les Comédiens pourraient faire fond sur sa bourse.

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