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123. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379

J’entends : le Spectateur ne se met jamais réellement à l’unisson du personnage ; or une passion hors de l’unisson cesse d’être dangereuse : mais, que répondrez-vous à ce que dit Riccoboni, par exemple ? […] Trouvez-vous, Monsieur, que cet accord cesse dans l’Ouvrage dont je m’appuie aujoud’hui ? […] Qu’un Père, un Tuteur, préservent une Jeune-personne des piéges que lui tendent sans cesse d’adroits séducteurs, n’ont-ils pas raison ? […] La Comédie expire, mais en enviant le sort de sa sœur la Tragédie, qui avait cessé quelques siècles auparavant, & qui n’était point, comme elle, morte deshonorée. […] … Périsse a jamais ce vil tyran du monde, cet or, dont la soif insatiable… Mais détournons les yeux de ces horreurs, puisque nous ne pouvons les faire cesser.

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