C’est un principe constant dans la Morale, que quiconque est cause d’un péché mortel, commet un péché mortel. Fussiez-vous deux mille causes d’un seul péché mortel, vous faites tous un péché mortel. […] En assistant à leurs représentations, n’êtes-vous point cause qu’ils représentent ? […] Et l’impiété que quelques Auteurs tragiques ont affecté de semer dans leurs Ouvrages, n’est-elle pas une des causes de l’irréligion qui se répand et s’établit de jour en jour ?