Il règne dans cet ouvrage une monotonie dégoûtante comme dans les Mille & un jour, Mille & une nuit, a chacune de ces Journées amusantes ; dès que les Dames sont visibles, on se rend dans leurs appartemens, on les mène à la promenade, on cause sur une terrasse, on vient dîner, on se rend à une bibliothèque, puis dans un sallon de compagnie, promenade encore, puis le souper ; enfin on va se coucher, le lendemain la même chose, le surlendemain aussi, &c.