Cette voix importune, étouffée par la fougue des passions, mais jamais anéantie, peut être regardée comme la premiere cause de la pudeur. […] Les bienséances de style, dans leur causes & dans leurs motifs, ne font donc qu’une invention du rafinement & de l’amour propre. […] Nous disons plus, elles sont encore une cause de la décadence du beau, dans la Poësie Théatrale.