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34. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

Et si la bonté, la simplicité naturelle de quelques-uns de ces personnages est la cause du ridicule qu’ils se donnent, est-ce à la cause que Molière l’attache ? […] Mais vous attribuez ici au commerce des femmes ce qui a des causes bien plus réelles. […] Ce désir n’est rien moins que vague ; la cause en décide l’objet. […] L’un y cause de douces émotions, l’autre fait frémir la nature. […] Quand je viens d’entendre et d’admirer Lise, Constance ou Cénie, j’oublie la cause, la seule cause de l’intérêt vif et tendre, dont je suis encore tout ému ?

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