Quand on passeroit toute cette doctrine, la cause du théatre tel qu’il existe, n’en seroit pas meilleure. […] Il ne fait pas plus de grace à ceux qui fréquentent les spectacles, soit à cause des péchés qu’ils y commettent & de ceux auxquels ils s’exposent, soit en se rendant complices de ceux des Comédiens, qu’ils autorisent & entretiennent, juge les uns & les autres indignes d’absolution, & blâme les Casuistes & les Confesseurs relâchés qui leur administrent les sacremens, contre la fausse décision des Casuistes, qui n’y trouvent qu’un péché véniel dans plusieurs.