M. de Sénancourt me fait donc un reproche sérieux de raconter historiquement les excès de prêtres ignorants, fanatiques et superstitieux, qui autrefois déshonoraient le caractère sacré dont ils étaient revêtus. […] Je ne me range point parmi les accusateurs de M. le curé de Saint-Germain l’Auxerrois ; mais de deux choses l’une, ou ce curé est coupable et il est indigne du poste qu’il occupe, ou il est innocent et alors son caractère sacré lui impose l’obligation de prouver publiquement et authentiquement son innocence, de la manière et sous telle forme que le jugeront convenables ses supérieurs.