On y voit des Princes & des Bouffons ; des Reines & des Soubrettes ; & chacun s’exprime selon le caractère qui lui est propre. […] Le caractère des Espagnols répand jusques dans leurs farces un certain air de gravité, & un sérieux qui permet rarement à la plaisanterie de faire tout son éffet. […] Chaque genre de Drame doit avoir son caractère propre ; confondre dans un seul ce qui doit appartenir à plusieurs, c’est risquer de faire un ouvrage monstrueux, dont les parties n’auront aucun rapport les unes avec les autres.