[saint Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences, livre IV, distinction 16, article 2, réponse à questiuncula 2] « empêchent la récollection des pénitents, et que leur état étant un état de peine, l’église a droit de leur retrancher par la pénitence, même des choses utiles, mais qui ne leur sont pas propres » ; sans y apporter d’autre exception que « le cas de nécessité : ubi nécessitas exposcit » ; comme serait dans la chasse s’il en fallait vivre : tout cela conformément aux canons, à la doctrine des saints, et au Maîtreaf des sentencesMag. 4. dist.16 [Pierre Lombard (= magister sententiarum), Sentences, livre IV, distinction 16]. […] , et la doctrine en passait pour indubitable, parce qu’elle était conforme à tous les canons. […] C’est toute la restriction qu’il apporte ici, laquelle ne regarde point les jeux publics, puisqu’il ne retranche rien de la défense des spectacles, qu’il laisse par conséquent en son entier, comme portée expressément par tous les canons où il est parlé de la pénitence, ainsi qu’il l’a reconnu dans le passage qu’on vient de voir sur les sentences.