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6. (1775) Voyage en Italie pp. 206-208

Si on avait laissé l’homme dans le chemin de la Nature, occupé journellement de la culture de la terre, qui fournit enfin à tous les vrais besoins, amusé alors, délassé par des plaisirs simples, il n’aurait pas eu besoin de l’art pour son bonheur. Mais depuis qu’on l’a enfermé dans des Villes où il y a tant de désœuvrés d’une part, et tant de gens trop occupés de l’autre ; ceux-ci ont besoin de spectacles, pour se délasser ; et ceux-là pour alléger le poids de leur existence.

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