Tels sont par exemple les endroits où il est parlé de femmes, dont la beauté et les vertus ont eu des charmes pour d’autres que pour leurs maris. […] Dieu approuve ses ajustements et ajoute même de nouveaux agréments à sa beauté ; quelle joie pour une assemblée, qui ne sait presque s’entretenir d’autres choses que de parures, d’ajustements, et des avantages de la beauté ? […] On prend ce vase, dit Origène, et charmé de sa beauté, on boit avec plaisir le poison qu’n y a détrempé. […] » Les habitants admirent sa beauté, et ils ne lui font néanmoins aucune demande. […] Instruisons-nous dans cette école si noble et si digne des enfants de Dieu, si nous nous plaisons à la beauté et à la magnificence des spectacles, désirons de voir cette sagesse éternelle, qui atteint avec force depuis une extrémité du monde jusqu’à l’autre, et qui place avec tranquillité chaque chose dans l’ordre où elle doit être ; car qu’y a-t-il de plus admirable que cette puissance spirituelle et invisible qui a formé et qui gouverne tout ce monde corporel et spirituel ?