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38. (1855) Discours sur le théatre, prononcé dans l’assemblée publique de l’Académie de Pau, où se trouvoient les Députés des Etats du Béarn et les Dames de la ville pp. 1532-1553

Il faut penser comme l’Ange des ténèbres, pour goûter de pareilles beautés. […] On ne sait pas trouver de vraies beautés, on se pare de faux brillants. […] Rabaisser la Divinité, c’est détruire la grandeur même de Caton, et la beauté de sa pensée. […] Mais, à la bonne heure, ma franchise sera une beauté, un blasphème sublime, un attentat héroïque. […] Deux choses défigurent cette beauté : la trivialité et la petitesse.

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