Elle ne connoît ni jeu, ni amans, ni compagnies frivoles ; elle n’est occupée ni de sa parure ni de sa beauté, elle fait la gloire de son mari, il se félicite de la posséder, tout le monde applaudit à son bonheur. […] La beauté est moins indifférente : on met tout en œuvre pour relever les graces, on emprunte toutes les couleurs, on étudie tous les jours favorables, on essaie de toutes les parures, on suit toutes les modes.