On aurait beau dire qu'on s'en amuse sans conséquence ; l'Apôtre ne les épargne pas. […] » L'obscénité règne partout dans quelqu’une de ses espèces d'obscénité grossière, voilée, gasée, délayée, aiguisée, assaisonnée, etc. que l'on veut décorer du beau nom de décence, de théâtre épuré, réformé, etc.