Leur décadence s’opère quelquefois sans secousse et tout naturellement : ils meurent quand ils ont porté leur plus beau fruit. […] L’Ovide de Saint-Ange est encore un assez beau monument. […] mais… Tout beau ! […] il n’a pas moins perdu la trace du beau. […] Console-toi, me dit ces jours derniers mon ami Corœbus : les pauvres diables, qui ont soif du beau, n’en seront pas toujours privés.