Il ne sert communément que de prétexte pour couvrir le phisique, le vrai but de tous ces beaux sentimens, & il y conduit immanquablement. […] Tous ces grands noms d’amour dégagé des sens, ne sont que de belles paroles, des paradoxes brillans, qui quand ils auroient quelque chose de réel, vont s’évanouir au théatre. […] J’aurois pourtant peine à interdire la lecture des belles tragédies de Corneille (car il s’en faut bien que toutes le soient). […] La belle excuse ! […] Une femme qui se trouve belle (eh !