La ville ne put mieux marquer sa joie que par la comedie & le bal : la Reine l’accepta, y mena son fils, & en fit les honneurs. […] Mais il n’est point de maladie dont un bal & une comédie ne soit le remede : elle voulut y venir, se trouva guérie, & fit prier la Reine de l’inviter. […] Le retour fut aussi pompeux ; le bal, la comédie embellirent la fête, tout jusqu’au nom du prince immortalisa l’époque de cet évenement. […] Y eut-il une seule de ces fêtes scandaleuses, bals, comédies si communes, dans son parti ? […] Elle va les essuyer dans le bal ; la comédie, les fêtes que l’Aréopage & l’Hôtel-de-Ville lui donnent.