Il aimoit à railler, mais jamais d’une manière piquante ; il souffroit volontiers les railleries, & n’usoit point de sa supériorité pour les repousser ; il préféroit le plaisir à l’ambition, & ne se piquoit de primer que dans les courses des chevaux & dans le bal ; sa gaieté inspiroit la joie à tout le monde ; il mangeoit familierement chez les bourgeois, sans pourtant s’avilir par des indécences, & les Durosois n’auroient pas trouvé chez lui de matiere à leurs farces.