Du temps que l’on perd au bal et à la danse. Le bal a beaucoup de choses qui lui sont communes avec le theatre, mais la principale est la perte du temps qu’on y passe. […] Et on ne peut nier que les bals n’aient produit souvent cet effet. […] Il est bon encore de considerer qu’un des plus grands attraits qu’ait le bal c’est l’esperance qu’on a d’y faire remarquer son adresse, et de s’attirer les éloges, et l’admiration même des assistans.