Saint Augustin au livre 3. de ses Confessions, chap. 2. suppose que les Comédies excitent les passions, conformément aux choses qui y sont représentées, autrement on n’y prendrait point de plaisir ; et il avoue que lui-même y assistant, il s’est souvent réjoui, quand il voyait les mauvais désirs des amants accomplis S.