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213. (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104

Outre les extravagances avouées de cette pièce, les observations de Bret, du père Roger et d’autres sur ses œuvres, forment un volume de passages vicieux, dont beaucoup sont bien aussi gros de mauvais goût que le ciel est gros de lumière. […] Je suis persuadé que si cet écrivain justement célèbre pouvait revenir parmi nous et comparer son temps avec celui qui l’a suivi jusqu’à l’époque actuelle, il avouerait lui-même qu’il s’est trompé ; que non-seulement il n’a rien fait d’utile pour les mœurs, mais qu’ayant frappé leurs ennemis inconsidérément, il a tué les bons au lieu de corriger les méchants.

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