Dryden continue, et revendique l’autorité de Plaute et de Térence. […] Dryden ne prétende que le Paganisme et le Christianisme ne diffèrent point l’un de l’autre, les autorités qu’il allègue ne sauraient servir à le justifier. […] Dryden recule ici, et se retranche sur l’autorité des Modernes de sa patrie. […] Dryden commence à ne plus compter pour son apologie, sur la ressource de l’autorité : il avoue à peu près que cette manière de se défendre ne vaut guère mieux que de soutenir une mauvaise coutume par une autre également mauvaise. Afin donc d’échapper à l’objection qu’on lui fait fondée sur l’autorité, il se jette dans un raisonnement tiré de la nature même de la chose, à ce qu’il tâche de croire.