Son libertinage le changea si fort, qu’il s’en déclara l’ennemi, annéantit son autorité, & le peuple fit brûler chaque année son image dans des rues. […] Nous avons souvent condamné le mêlange profâne du Paganisme avec le Christianisme sur le théatre, le culte simulé des faux dieux, ces exercices d’idolâtrie qui y sont si communs : l’autorité d’un anglois sera sans doute d’un grand poids dans ce siecle angloman.