Il serait moins ridicule, si pour donner au théâtre une décoration nouvelle, on attachait aux coulisses les estampes si connues des exercices de la Trappe qu'on voit dans les boutiques, les galeries, les chambres des bourgeois, où une piété gothique n'a pas encore permis de substituer aux images de dévotion, pour l'édification publique, les figures de l'Arétin ou des contes de la Fontaine, qui parent si religieusement les cabinets des Acteurs et des Actrices, et ceux de leurs adorateurs.