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39. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre V. De la Dépense des Spectacles. » pp. 75-88

On peut donc, sans exagération, assurer que la comédie de Paris coûte au public au moins cinq cent mille livres, sans y comprendre les dons du Roi et des particuliers : on ne compte que les seuls profits des entrées. […] Cependant la dépense que font leurs amants ne les assure pas du cœur de ces créatures ; elles prennent de toutes mains quand l’occasion est favorable, leur vertu ne s’effarouche pas, pour peu que leurs aventures soient cachées à leurs adorateurs, lorsqu’elles sont assurées du secret, le marché est bientôt conclu.»

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