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250. (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128

ce serait donc aux Auteurs qu’il faudrait s’en prendre, mais non : le Roi ne pensionnerait pas les Spectacles si les Spectacles étaient le Temple des vices : il punit les assassins, les bandis, les usuriers, &c. il eut mis la Comédie du nombre : une Académie ne l’approuverait pas, & les Comédiens de Paris ne feraient point nombre dans leurs assemblées. […] Son Père avait assemblé tous les Seigneurs de son Etat, dont plusieurs se flattaient d’être choisis, mais Cyptis alla offrir l’heureuse ablution à Protis, qui se trouva dans cette assemblée.

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