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234. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

Cependant que le goût du luxe, inséparable de celui du spectacle, que les maximes de nos tragédies, la peinture comique de nos mœurs, le silence même et la gêne qui règnent dans nos assemblées, et qu’il regarde comme indignes de l’esprit républicain, que tous ces inconvénients soient tels qu’il les envisage par rapport à Genève, il est plus en état que nous d’en juger. […] De là nos festins, nos promenades, nos assemblées, ainsi que le bal que M. […] Rousseau nous répond qu’ils représentaient les actions des héros ; que ces grands spectacles étaient donnés sous le ciel, sur des théâtres magnifiques, et devant toute la Grèce assemblée.

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