Augustin compare une assemblée de danseurs à un marché où le Démon fait un grand commerce. […] Les assemblées de danse réunissent ces deux choses, elles écartent ce qui sauve, elles rassemblent ce qui perd. […] Après avoir vu tout ce qui se passoit dans cette assemblée, il fut saisi d’étonnement, & nous dit : Ces folies sont une invention du diable pour corrompre les mœurs & perdre les hommes. […] Ce ne sont pas seulement ceux qui dansent, tous ceux qui composent l’assemblée semblent aussi dans le délire. […] Qu’avec la lanterne de Diogène on cherche un homme dans ces nombreuses assemblées, qu’on y cherche de la modestie, de la sagesse, de la retenue, de la religion, y en trouvera-t-on la moindre trace ?