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102. (1698) Théologie du cœur et de l’esprit « Théologie du cœur et de l’esprit » pp. 252-267

Ce n’est point par la lecture des Romans, non plus que par le plaisir de la Comedie, que nous arriverons à ces deux fins : est-il rien de plus dangereux à notre innocence ? […] N’apprend-on point par là aux personnes qui auront la passion de se marier, de se servir des mêmes adresses pour arriver à leur fin ?

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