L’arrêt du 2 janvier 1693 déchargea cette portion de la saisie, mais arrêta la part de Poisson et de sa femme sur les profits des représentations, ordonna que les deux tiers seraient donnés aux créanciers jusqu’à l’entier paiement, obligeant la troupe d’en tenir registre et de le représenter deux fois l’année. […] Ne serait-il pas du bien de l’Etat d’ôter l’occasion de ces folles dépenses, comme un bon père tâche d’arrêter les folies d’un enfant prodigue qui court à sa perte ?