Je m’arrête à ces derniers. […] Ce sont ces Dervisen ou Derviches, qui donnent tous les Vendredi, en présence de leur Assambaba ou Supérieur, le Spectacle de ces Danses singulières, où ils tournent avec une rapidité surprenante, & s’arrêtent sur le champ, avec une précision qui ne l’est pas moins, au signal que donne l’Assambaba ; le peuple Musulman, pénétré de respect, voit toutes ces saintes pirouettes avec un grand plaisir.