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394. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301

Il ajoute que les Poètes s’attiraient autrefois de l’admiration pour les grands services qu’ils rendaient : ils instruisaient de tout ce qui avait rapport à la Religion et à l’Etat : ils polissaient les mœurs, modéraient les passions, perfectionnaient l’esprit, et apprenaient aux hommes à devenir habiles pour leurs affaires personnelles et pour les emplois publics. […] Il nous apprend, que Ibid.

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