L’auteur pour ne rien omettre appelle enfin les lois à son secours ; et, dit-il, si la comédie était si mauvaise, on ne la tolérerait pas, on ne la fréquenterait pasPage 39. [« Lettre d’un théologien », page 39]. […] p : pendant que les lois du siècle qui ne peuvent pas déraciner tous les maux permettaient l’usure et le divorce, ces grands hommes disaient hautement que si le monde permettait ces crimes, ils n’en étaient pas moins réprouvés par la loi de l’Evangile : que l’usure qu’on appelait légitime, parce qu’elle était autorisée par les lois romaines, ne l’était pas selon celles de Jésus-Christ, et que les lois de la cité sainte et celles du monde étaient différentes.