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38. (1834) Discours sur les plaisirs populaires « Discours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles » pp. 1-33

Alors nous avons vu ce roi sacrifier sa popularité à leurs exigences, appeler toute la nation à l’expiation de ses fautes personnelles, à son repentir, à sa pénitence ; et la forcer à renier, pour ainsi dire, trente ans de gloire et de liberté. […] Elle célèbre pendant trois jours ce qu’elle appelle les quarante heures en expiation de ces excès auxquels se porte toute la population. […] que nous appelons par nos vœux au partage de la liberté, et que nous voudrions voir affranchie du joug d’un prêtre dont le royaume ne doit pas être de ce mondew. […] … (Il y a déjà loin de ces temps à notre époque) notre Molière, poète et comédien, descendant presque mourant de la scène, aurait appelé en vain un prêtre auprès de son fauteuil de mort. […] Parce qu’enfin, les scribes et les pharisiens de la Rome nouvelle se sont assis sur ce qu’ils appellent la chaire de saint Pierre, et ont établi le fardeau de leur domination sur les simples ministres des autels de Jésus-Christ.

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