Si l’on en retranchait ce qu’on appelle les traits hardis, c’est-à-dire, ces maximes pernicieuses, contraires aux Lois des Nations, au respect que l’on doit aux Puissances, plus souvent encore à la Religion même ; que deviendrait leur mérite ?
Si l’on en retranchait ce qu’on appelle les traits hardis, c’est-à-dire, ces maximes pernicieuses, contraires aux Lois des Nations, au respect que l’on doit aux Puissances, plus souvent encore à la Religion même ; que deviendrait leur mérite ?