Malgré la sainteté d'une religion que l'Espagne professe si hautement, l'Eglise n'a pu y abolir les combats des taureaux, si souvent meurtriers, qui ne sont qu'un reste des anciens spectacles. […] Voilà donc l'ancien théâtre, plus épuré que le nôtre, où l'on ne songe qu'à divertir, et non à instruire.