Quelque sensible que je paraisse à la perte de la bonne Comédie, telle que la possédaient les Anciens, et surtout les Grecs qui passent pour l’avoir portée à la plus haute perfection ; et avec quelque vivacité que je me déclare contre la Comédie moderne, je ne pense pas pour cela qu’il faille abolir entièrement la Comédie. […] Mon véritable sentiment serait donc que l’on imitât, en cela, les Anciens qui ont diversifié la Comédie, en l’accommodant au temps, aux mœurs et au goût des Spectateurs.